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Soyez les bienvenus et bonne lecture à tous !
Randonnée à Brégançon … ou presque
Le 20 novembre, rendez-vous à La Londe Les Maures pour un départ vers Brégançon en suivant la côte.
Le dénivelé annoncé est modeste et le parcours simple (13 à 18km) puisqu’il s’agit d’un aller et retour.
La marche dans le sable, parmi les débris de posidonies et sur les galets ralentit un peu la cadence. Les passages plus rocheux demandent un peu d’équilibre et les « escaliers » aux marches très inégales font lever la jambe très haut parfois.
Deux groupes sont constitués, comme d’habitude. L’un avance d’un bon pas sous la conduite de Jean-Pierre, avec Yves en serre-file. Le second est emmené par Chantal avec Gérard comme serre-file.
Nous longeons une côte qui est sans doute une des plus belles de la Méditerranée.
Après les magnifiques plages de l’Argentière et de l’Estagnol les deux groupes s’arrêtent à la Pointe du Diable.
Il reste 2km à parcourir pour parvenir à Brégançon.
Après discussion, Jean-Pierre emmène un groupe vers ce but ultime tandis que d’autres préfèrent s’installer pour piqueniquer en attendant le retour des plus courageux.
Finalement, deux heures plus tard, ils reviennent fatigués et dépités car ils ont été arrêtés par la mer et ont dû faire demi-tour après avoir fait leur pause déjeuner.
Exceptionnellement, l’arrivée au bercail est un peu tardive, ce qui nous vaut de traverser Toulon à l’heure de pointe.
Jean-Paul
La bibliothèque
Une personne âgée qui disparait, c'est une bibliothèque qui brûle !
Cet adage africain d'Amadou Hampâté Bâ semble expliquer pourquoi notre bibliothèque BLC dispose d'une écrasante majorité d'ouvrages datant de plus de 30 ans ! Les livres des donateurs nous sont bien parvenus, à l'exception de ceux que leurs enfants, preuve de bon sens et de goût, ont soigneusement conservé sur leurs étagères privées, Giono, Garcia Marquez et Faulkner !
Il faut reconnaitre que, suivre le principe actuellement établi selon lequel, celui qui emprunte un livre peut le conserver définitivement, explique les départs d'Elena Ferrante, Michel Houellebecq et autres contemporains pour des cimaises plus intimes ... et donc leur absence !
Alors de manière synthétique, un rayon Policier, un rayon Livres étrangers, un rayon livres pour écoliers des années 70-90 (Verne, Balzac, Sand, Camus), le reste est au petit bonheur du chineur, peu de Barbara Cartland ou Daphné du Maurier mais à côté de Cavanna, de Joyce Carol Oates et Marie Cardinal !
Qui lit encore Guy des Cars, Frison-Roche ou Patricia Highsmith ? Indépendamment de leurs qualités évidentes, ces auteurs ont été remplacés par J.K.Rowling, Harper Lee, Susan Collins ou John Green, mais leurs œuvres restent sur les murs des ados quand ils ont accepté de lire la source des films qu'ils ont déjà vus 38 fois.
Alors avez-vous lu " L'attrape-cœurs" de Salinger, "Au-dessus du volcan" de Malcolm Lowry, "Beloved" de Toni Morrison, Tom Wolfe, Richard Wright, Mark Twain ou Armistead Maupin (Série géniale à San Francisco) ou John Grisham ?
Et si se créait un panier de la bonne humeur qui contiendrait les livres permettant d'oublier notre quotidien cafardeux en compagnie de David Lodge, d'Audouard, de Grégoire Delacourt, de Tom Sharpe, de Wodehouse, McCall Smith, Alexandre Jardin, Patrick Cauvin ou Boris Vian ...
Et si se créait un panier des dernières lectures avec Bussi, Musso et Lévy mais aussi Ruffin, Dan Brown, Stephen King, Emily Blaine, Christian Jacq, Beaton ou Sophie Tal Men...
Il faudrait peut-être relancer les dons, d'étagères avant tout si possible montées sur roulettes car la place manque, mais surtout d'ouvrages plus récents car un livre qui n'est pas lu et relu est un livre perdu, perdu au fond de la bibliothèque familiale, sous 200 autres livres, les journaux et les revues !
Jacques
"Connais-toi toi-même ... et tu connaitras l'univers et les Dieux !"
Toujours autant de plaisir à retrouver les membres très exigeants de l'Atelier Sophrologie !
De 6 à 8 participants selon les semaines, et vous seriez surpris du salut adressé à l'Animatrice Kelly, il y a toujours quelqu'un pour lui demander "Alors tu as duchocolat ?" et non ce n'est pas moi qui le dit, mon profil physique vous trompe ...
Il fautreconnaitre que nous somme gâtés, après un travail sur les plats préférés, une plongée dans les effluves colorées nées du goût d'un carré de chocolat noir suisse grand cru première classe (importé sans déclaration en douane), nous a permis d'atteindre la lumière et la chaleur de notre feu intérieur !
Enfin pas tous, car certainement repu après les évocations de grande cuisine et s'étant particulièrement investi dans les parfums et sensations évoquées, un des participants est allé au bout de ses rêves en plongeant dans la fontaine de Bandol qui arrosait son pot-au-feu (pas d'appel téléphonique, je ne donnerai pas de nom) et piquait du nez assis sur une des chaises de l'école de Naron, un souvenir peut-être de son parcours scolaire ... Un autre salivait sur son choix d'ananas de Cote d'Ivoire et s'essuyait compulsivement les lèvres, un autre évoquait les salades estivales et agitait ses mâchoires de manière très suggestive.
Le chocolat fut une grande séance, notamment car, au sortir de la dégustation et de notre voyage intérieur, nous nous sommes tous retrouvés par le plus grand des hasards chez Carrefour pour acheter notre nouvel opium !
Vous avez pu comprendre que notre groupe était très réceptif mais nos expériences au sein de cet Atelier ne relevaient pas toutes de ces moments parfois très drôles mais provoquaient de nouvelles interrogations parfois surprenantes.
Nous avons pu comprendre pourquoi Kelly nous emmenait au plus près de nos organes, en écoute et sensation de nos pensées, comment la sensation de plénitude ressentie en suivant ses sollicitations nous rendait plus fort.
Plus à l'écoute de notre corps, notre estomac, des muscles de notre dos, c'est une prise de conscience que le corps est un "tout" un système complexe où le cerveau et le corps échangent avec l'extérieur et ses contraintes.
Une autre caractéristique de cet Atelier tient dans la manifestation de choix bien précis suite à sollicitation, pourquoi dans les chemins où nous mène Kelly, rencontre-t-on telle ou telle personne, prend-t-on le chemin de tel village ou lieu, fait-on tel ou tel choix ?
Les réponses sont propres à chacun et ne sont parfois pas faciles à admettre mais l'exercice nous pousse à nous interroger, à nous connaitre nous-mêmes ...
Jacques
DEVINETTE
Quelle spécialité française existe en 365 variétés différentes (au moins) ?
Cette spécialité appartient à une catégorie qui a justifié la création en 1981 d’un musée qui lui est dédié à Issy-Les-Moulineaux où sont exposés 7000 exemplaires différents.
Oubliez le fromage, le vin ou la bière ! Ce serait trop facile.
Allons ! encore un petit effort …
C’est la belote, bien sûr, qui est l’un des 7000 jeux exposés dans ce fameux musée français du jeu de cartes.
En vérité, je n’ai pas compté mais je pense que la belote doit avoir foisonné à peu près autant que notre gastronomie.
Les variantes sont infinies dans la façon de distribuer, d’annoncer (ou pas) la couleur, les points, de comptabiliser (ou pas) les suites et les carrés, d’admettre le « sans atout » et le « tout atout, de hiérarchiser (ou pas) les couleurs, etc, etc
Quand on s’inscrit à l’atelier « contrée » de BLC on ne fait pas le choix d’une variante, non !
On fait le choix de la VRAIE belote, comme l’affirment sans aucune modestie les pratiquants du cru.
Lorsque des nouveaux arrivés osent affirmer que « nous dans le nord … », « nous à Saint-Etienne … » ou « nous en Bretagne … » on peut pratiquer ce sport différemment, ils ne risquent pas l’excommunication mais ils sont amicalement priés de se plier aux « vraies règles ».
Etant passé sans dommages par cette phase nécessaire d’acclimatation, j’ai finalement trouvé dans ce jeu le même plaisir qu’avec d’autres variantes qu’ici on qualifie d’exotiques.
Il y a toujours la même nécessité de compter et de mémoriser les cartes jouées, d’être attentif aux choix (voire aux mimiques !) de son partenaire et de deviner la stratégie de l’adversaire.
D’abord et surtout, j’y ai trouvé la convivialité, l’humour et l’humilité qui rendent les séances du mardi après-midi si agréables.
Avec Christine et Jacques qui veillent à l’organisation et qui aident aux premiers pas des débutants, cet atelier voit le nombre de ses fidèles grossir.
Certains plus aguerris transmettent leurs « trucs »aux apprentis. Ainsi, nous progressons tous ensemble.
Ce mardi, nous avions le grand plaisir d’accueillir deux nouvelles joueuses qui ont vite appris les règles et promis de revenir.
Faut-il le préciser, nous avons une parité hommes/femmes remarquablement constante au fil des séances.
Alors, partant(e) pour une contrée ?
Jean-Paul
Elle s’est fait désirer, mais ….
Deux fois programmée puis annulée pour des raisons météorologiques, le parcours des crêtes de La Ciotat promettait de devenir l’arlésienne de l’atelier randonnée.
C’était sans compter sur la persévérance de Gérard qui n’avait pas lâché l’affaire et guettait la fameuse fenêtre météo qui autorise le feu vert.
Enfin, le 6 novembre promettait d’être une journée calme et tempérée.
Les membres de l’atelier ne s’y sont pas trompés et ils étaient plus de cinquante sur la ligne de départ à 9h30.
Pourtant, l’importance du dénivelé (450m) aurait pu tiédir les ardeurs mais la beauté des paysages l’a emporté sur la crainte de l’effort.
Deux groupes se sont constitués. L’un soumis à cadence soutenue sous la houlette de Jean-Pierre aidé par Yves en serre-file. L’autre moins exigeant sur le chronomètre conduit par Chantal assistée de Marc.
Heureusement, les pauses ont été assez nombreuses et bien localisées pour contempler de superbes points de vue sous un ciel pommelé très photogénique.
D’emblée, nous étions prévenus : parcours difficile le matin et montée pour le chemin du retour !
Si la colonne s’est quelque peu étirée en longueur, tous ont fini par rejoindre le peloton aux arrêts prévus. Il est vrai que les serre-files jouaient leur rôle avec vigilance.
Le pique-nique à mi-parcours le long d’un coteau boisé charmant a permis de reprendre son souffle et des forces et d’engager des conversations animées.
Saluons comme il se doit la qualité de l’organisation et le talent des organisateurs qui nous permettent de découvrir des itinéraires intéressants qu’ils ont préalablement reconnu et qui veillent à notre sécurité.
S’y ajoutent leur sourire et leur bonne humeur qui créent une ambiance chaleureuse.
La randonnée du 6 novembre 2023 restera pour tous un très bon souvenir.
Jean-Paul
Tu pointes ou tu tires ?
Chaque après-midi du mercredi et du vendredi à partir de 14h, c’est sur la Rambla de Saint-Cyr que se disputent les parties de pétanque de notre atelier.
Selon les jours, environ 30 à 60 joueurs (parfois plus, lorsqu’il y a un événement festif), se retrouvent pour le tirage au sort des équipes.
Daniel, Jean-Luc, Gilles et Élie sont les « mains innocentes » qui répartissent les boules déposées par chacun dans trois catégories : les pointeurs, les femmes et les tireurs.
L’équilibre entre les catégories est quelquefois imparfait et des pointeurs peuvent être vivement incités à devenir tireurs, mais jamais l’inverse !
Curieusement, les tireurs sont exclusivement masculins mais certaines femmes s’enhardissent parfois au tir avec bonheur.
Le nombre des participants est rarement un multiple qui permettrait de n’avoir que des triplettes.
Daniel utilise alors un logiciel qui optimise en un instant le nombre idéal de triplettes et de doublettes.
Il arrive donc parfois que plus de vingt équipes se répartissent sur la Rambla qui, fort heureusement, est longue.
Si le silence aide à la concentration, cela ne peut pas être ici un facteur de succès. Les rires, les commentaires et les galéjades fusent de toutes parts.
Si le silence aide à la concentration, cela ne peut pas être ici un facteur de succès. Les rires, les commentaires et les galéjades fusent de toutes parts.
Les coups heureux ou malheureux sont parfois analysés longuement et les tireurs victorieux sont encensés bruyamment.
Chacun a l’ambition de faire gagner son équipe mais il arrive parfois que la main n’oriente pas la trajectoire de la boule comme le cerveau le voudrait.
Tant pis ! On fera mieux à la mène suivante.
Les critiques et les moqueries n’ont pas leur place à l’atelier pétanque, et tous ont connu ou connaîtront des passages à vide où la boule n’en fait qu’à sa tête.
Les joueurs chevronnés font l’admiration des débutants qui reçoivent de précieux conseils en échange, avec beaucoup de bienveillance.
Si la météo s’y prête, les parties se poursuivront jusqu’à la nuit tombante pour les plus passionnés.
Nombreux sont ceux pour qui cette activité est importante. Pour en juger, il suffit de voir les groupes se constituer spontanément pendant les vacances scolaires alors que l’activité est normalement suspendue.
Lorsque les crêpes, la galette des rois, le bon cidre breton ou un concours sont à l’agenda, l’affluence est encore plus spectaculaire et peu manquent à l’appel.
Autant que la passion de ce sport, la relation chaleureuse au sein des membres de l’atelier en fait un lieu de rencontres et d’échanges précieux, et même irremplaçable pour beaucoup.
Jean-Paul
Voyager avec BLC ? Témoignage d’un nouvel adhérent au retour du voyage en Jordanie d’octobre 2023
Les voyages de groupe, c’est bien mais …
Le circuit est vraiment intéressant ?
Les hôtels seront-ils de la qualité promise ?
La nourriture sera-t-elle bonne et variée ?
Le guide sera-t-il clair et didactique ?
Répondra-t-il à mes questions ?
Mes bagages arriveront-ils en même temps que moi ?
Que faire si je suis fatigué ou en difficulté physique de suivre le groupe ?
N’y aura-t-il pas le clan de ceux qui se connaissent et le clan des « autres ? Etc, etc
Autant de questions légitimes qui font hésiter.
S’y ajoutait l’inquiétude liée aux conséquences du conflit israélo-palestinien.
S’y ajoutait l’inquiétude liée aux conséquences du conflit israélo-palestinien.
Le voyage en Jordanie du 8 au 16 octobre a prouvé qu’on pouvait cocher toutes les cases, même sur les points les plus incertains.
Tous les astres étaient alignés !
Météo parfaite du premier au dernier jour.
Hôtels de très bonne catégorie, propres et confortables
Restauration variée faisant la part belle aux spécialités locales
Le guide, Fahed, est un exemple de ce dont rêve tout voyageur : courtois, cultivé, pédagogue, patient, adaptable à nos demandes, anticipant toutes les difficultés
Le chauffeur, Walleed, adroit, prudent, prévenant, nous a autant conduits que bercés sur des routes qui n’étaient pas toujours faciles.
L’acheminement des bagages a été parfait, mis à part un contrôle douanier qui a détecté la présence de jumelles, outil d’espionnage prohibé.
Les plus sportifs ont pu se défouler à volonté.
Les autres ont participé aux visites selon leur propre rythme.
Si la visite de Petra a nécessité un peu d’efforts (surtout pour les intrépides qui ont escaladé les 800 marches jusqu’au monastère), les sorties pouvaient généralement s’adapter aux capacités physiques de chacun.
Les sites du circuit présentaient tous un réel intérêt archéologique, architectural, historique, esthétique, voire religieux et n’ont laissé personne indifférent.
La magie du désert du Wadi Rum et nos séances de méditation resteront des grands moments de partage et de beauté.
La cohésion de notre groupe s’est rapidement affirmée sans qu’il soit nécessaire d’imposer des échanges de tables aux repas ou de places. La mixité a été réelle, totale et spontanée.
C’était la clé pour vivre des soirées joyeuses et de bonnes parties de rigolade.
La séance d’enveloppement à la vase sur les bords de la Mer Morte a pu aussi contribuer à cette cohésion.
Enfin, et ce n’est pas un élément de détail, notre groupe a été accompagné, encadré, materné, sécurisé par la fée Christine qui a joué son rôle infiniment délicat avec discrétion, tact et efficacité.
De l’aveu de beaucoup d’entre nous, ce fut le voyage le plus réussi de notre vie.
Les échos reçus du second groupe à son retour confirment clairement ce point de vue qu’on peut maintenant qualifier d’unanime sans hésitation.
Jean-Paul
Le virus du billard, un seul effet secondaire : l’envie de revenir
Loin des arrière-salles enfumées des pubs des séries B, c’est au bowling de Bandol que se réunissent les nombreux adeptes du billard de BLC un jeudi sur deux de 18h à 20h.
Débutants, passionnés (et même « semi professionnels ») se côtoient et parfois s’opposent avec la plus grande bienveillance autour des tables petites ou grandes.
Eh oui ! Il y a les grands billards américains et les billards anglais plus petits mais à BLC on fait comme s’il n’y avait que des billards anglais.
Marc, le grand maître du billard, prépare soigneusement les séances en composant les équipes et parvient à établir un équilibre sans cesse renouvelé autour des tables.
Il nous connaît tous et a une mémoire éléphantesque. Ça peut aider …
Il joue tout en prodiguant avec bonne humeur ses conseils avisés, et en veillant du coin de l’œil au bon déroulement des parties sur les autres tables.
On ne se prend pas au sérieux et on discute beaucoup mais chacuns’applique à réussir son coup avec plus ou moins de bonheur.
C’est là que le petit conseil de l’ancien peut transformer la«fausse queue» en un coup brillant.
J’en ai fait l’expérience avec mon partenaire de la dernière rencontre, François, notre président.
Avec beaucoup de pédagogie, il a sensibilisé le novice que je suis (et que je resterai longtemps …) à l’importance de l’observation, de la position du corps et des doigts, de l’angle d’attaque, de la qualité du procédé (nom de l’embout), de la trajectoire réelle et imaginaire ( ! ), etc, etc ...
Même en n’étant pas tout à fait sûr d’avoir tout compris, le plus important était de prendre du plaisir à réussir quelques coups, grâce à d’imperceptibles progrès.
20h sonne l’heure de la récréation et de l’apéritif qui permet de nouer ou de renouer des liens entre les membres autour du billard mais aussi de bien d’autres sujets.
Ça y est ! Je crois que je suis accro. Pas question de manquer le prochain rendez-vous.
Jean-Paul
Aquabike : 3 semaines, 3 coachs différents mais complémentaires !
Le cadre est superbe, la piscine de Sanary dans son écrin de verdure et un bassin séparé, sept à huit personnes sur les vélos et sous l'eau, malheur à celui qui ne fait pas les réglages de taille avant le début du cours ! Il lui faudra rattraper les autres ...
Le Maestro de la Chorale adorerait l'ambiance musicale, de la House bien forte et bien scandée afin de ne pas entendre les lamentations de ceux qui ont déjà crevé, pardon qui sont crevés avant les 45 minutes contractuelles.
La première semaine, nous nous souriions, timides, ce qui a changé ensuite ...
A partir de la deuxième semaine, les forçats de la flotte, dents serrées et fesses au-dessus de la selle ("toujours-au-dessus-de-la-selle") se reconnaissaient dans l'effort et l'inconfort en ahanant bien fort !
Il faut le reconnaitre, nous avons eu ce que nous demandions !
Ce qui me parait toujours extraordinaire, alors qu'en sortant de l'eau je me sens épuisé-vanné-moulu, le souffle court et l'œil hagard, c'est l'extraordinaire décontraction des femmes qui ont réalisé les mêmes exercices !
Comment peut-on sortir aussi facilement de l'eau, vérifier sa coiffure en riant, se sécher le bout du museau en plaisantant puis toutes gaiguettes, retourner au vestiaire en dansant alors que je traine lamentablement mes grands pieds dans la direction des douches ?
Solidarité féminine, supériorité féminine, c'était en fait l'équipe de Jeannie Longo qui profitait des tarifs BLC ? Ou la démonstration que l'on peut toujours en faire plus, de bon gré et éprouver encore plus de plaisir en sortant de l'eau ?
Jacques
Pour régresser puis progresser en chantant, ou la Chorale enchantée
Que de cœurs, que de musiques, que de langues, que d’enthousiasme …
Entre trente et quarante choristes, un « Maestro » sur son estrade, diapason en main et un pianiste qui se démène pour aider les quatre pupitres (Soprano, Alto, Ténor et Basse) à trouver la bonne hauteur de la note à chanter, un chef de chœur qui rallie tous ceux qui sont perdus entre la page, la ligne, la note, le texte voire parfois, la partition, quand ce n’est pas la tessiture, le tempo, la ronde « qu’il-faut-absolument-respecter », voilà une chorale en place avec ses murmures, ses raclements de gorge, ses toux et soupirs, face à ces Himalayas de la musique que représentent «Asimbonanga », « la strada ferata », « Amazing grace », « Yellow Submarine » ou « When the saints go marchin’in » !!
Les musiques :
Les supporters des Tottenham Hotspurs, club de football londonien seraient enchantés de ce dernier choix qui est l’hymne de leur club, mais … tentez d’imaginer la découverte par nos studieux oisons des paroles en Zoulou du chant de marche dédié à Nelson Mandela et ne soyez pas surpris d’apprendre que l’étonnement se mêlait à l’enthousiasme !
L’enthousiasme dans le chant choral est un élément fondamental au même titre que la pratique des langues étrangères telles que l’italien, l’anglais du sud des USA, l’anglais ou l’allemand (s’il prenait envie au Maestro François de nous initier au chant des pèlerins de Tannhäuser). Je tiens à préciser que bien que la chorale pratique ces langues étrangères, rien ne peut néanmoins garantir que les étrangers nous comprennent bien dans l’expression de notre Art… Nous devons parfois allonger les syllabes pour respecter le tempo.
See you later Alligator. …
Jacques
En chorale oui mais QUI, POURQUOI et QUOI ?
« Nous avons bien chanté » a dit le Maestro avec une insigne crispation de l’œil droit (oui, l’œil qu’il garde sur moi tout au long de la séance dès que je commence à bredouiller «Asimbonanga Mandelatina Lapékona Lapéhélikonana»).
Après avoir soufflé profondément, il a donné le feu vert à la mise en place de la soirée «Auberge espagnole», les gorges desséchées des chanteurs vont enfin bénéficier de liqueurs et breuvages revigorants.
Les plats et les bouteilles s’alignent sur les tables, les joyeux participants choristes s’affairent à découvrir les mets préparés par chacun et le bruit des conversations monte doucement, inversement proportionnel à la hauteur du vin dans les bouteilles.
J’ai préparé quelques questions évidemment indiscrètes (qui ne relèveront pas de la Loi sur la protection des données personnelles), et c’est assez naturellement que diverses personnes se confient sur leurs expériences, leurs attentes et motivations.
En fait, si plusieurs débutent le chant choral, la grande majorité des chanteuses et chanteurs n’a que très peu de connaissances du solfège et n’a jamais joué d’un instrument de musique (autre que du tam-tam, du pipeau ou du sifflet à roulette).
Beaucoup le reconnaissent, chanter est aussi un défi au temps qui passe, à un savoir complexe, à une époque difficile, et surtout finalement à soi-même.
Mais pourquoi chanter enfin ?
- La Musique, la recherche de l’Harmonie, le besoin de trouver enfin la puissance d’un groupe et la beauté dans une vie quotidienne qui n’en fait que peu de cas
- la personnalité, le charisme d’un Maestro, l’assurance d’une pédagogie et d’un savoir-faire
- pour certains (les plus expérimentés), le plaisir de chanter des chants du monde, dans d’autres langues avec la découverte d’une autre culture
Et quels styles musicaux sonnent le mieux aux oreilles des chanteurs de BLC ?
Pas très Rock’n Roll la play-list, les pierres qui roulent n’amassent pas mousse …
Le goût des musiques sacrées ou classiques est omniprésent, les chants du monde, le Gospel et la musique populaire française font un carton.
C’était une belle soirée au Chemin de Naron, nous avons bien chanté, bien bu et mangé, bien rit et évoqué les belles années…
See you later Alligator. …
Jacques
Les 3 groupes de l’atelier Sophrologie respirent et échangent depuis septembre 2023 !
Les séances ont commencé le 19 septembre 2023 et, sous la conduite de Kelly, chacun des trois groupes suit un chemin spécifique, personnalisé en fonction des attentes exprimées par les participants.
"La sophrologie caycédienne (Alfonso Caycedo, 1932-2017, neuropsychiatre fondateur de la Sophrologie) peut être efficace dans un grand nombre de cas puisqu’elle aide à relier le corps et l’esprit de manière consciente, grâce à des exercices de respiration, de détente musculaire et mentale, et de visualisation d’images ou de situations positives."
Si les objectifs sont toujours de faire connaitre, comprendre et utiliser les meilleures méthodes d'approche de la connaissance de Soi et de la Relaxation, le fonctionnement de l’atelier a été balisé comme suit :
Une séance d'une heure animée par Kelly, comportant :
- Une présentation individuelle, un retour sur la séance précédente et les ressentis de chacun
- Sur le rythme des paroles de Kelly, exercices de respiration, relaxation et visualisation des scénarios et situations proposées
- Retour sur l'expérience individuelle par la verbalisation des ressentis, échanges avec la sophrologue.
La participation régulière aux séances est souhaitable pour une meilleure maîtrise des méthodes utilisées mais en cas d'absence, l'envoi d'un message ou SMS reste l'expression habituelle de la courtoisie.
Un accès WhatsApp dédié aux Groupes a été créé par Kelly et reste à la disposition des participants.
Trois Groupes sont constitués et fonctionneront pendant l'année, deux pour les élèves débutants et un pour les confirmés. Chacun des groupes est autonome quant aux contenus des thématiques abordées.
Le discours de la sophrologue est enregistré pendant chaque séance puis transmis ensuite aux participants. Les thèmes mensuels seront signalés dans la Gazette.
Les thèmes suivants pourront être abordés :
- Pour les débutants : Écoute du corps, Détente et Relaxation, Respiration et souffle, Recherche de l'énergie et du positivisme.
- Pour les participants confirmés : Alimentation et problèmes liés, Soins et Douleurs, Vibrations (musiques et sons), Confiance en Soi.
Les dates d'interruption des ateliers sont les suivantes, basées sur le calendrier scolaire :
du 21 Octobre au 6 Novembre 2023 Toussaint
du 23 Décembre 2023 au 8 Janvier 2024 Noël
du 24 Février au 11 Mars 2024 Hiver
du 20 Avril au 06 Mai 2024 Printemps
du 07 Mai au 13 Mai 2024 Assomption
Les Projets :
Jacques