Les gorges du Caramy au départ de Tourves

Les gorges du Caramy au départ de Tourves

Le Caramy prend sa source à 470m d’altitude sur la commune de Mazaugues, dans les couches de calcaires du massif d’Agnis. Il draine un bassin versant qui présente un réseau hydrographique peu développé ne bénéficiant d’aucun affluent notable mis à part le Val de Camps. Toutefois, de nombreux petits ruisseaux issus des sources karstiques sont présents. Cette rivière parcourt environ 45 kilomètres et traverse six communes, Mazaugues, Tourves, La Celle, Brignoles, Vins-sur-Caramy et Carcès, où elle conflue avec l’Argens.

 

Les gorges du Caramy situées au cœur de la Provence verte sont un petit canyon creusé par la rivière Caramy. Elles s’étendent du Saut du Cabri, une cascade située sur la commune de Mazaugues jusqu’au Pont Romain à Tourves.Elles constituent l’un des territoires remarquables du parc naturel de la sainte Baume.

Véritable havre de verdure, les Gorges du Caramy bénéficie d’une richesse biologique importante par la densité de ses grottes, certaines grottes sont notamment ornées de peintures rupestres.

De nombreuses espèces endémiques ou patrimoniales trouvent en ce lieu les conditions idéales à leur développement. C’est le cas de coléoptères troglophiles, de chauves-souris (Petit Murin, Petit et Grand Rhinolophes, Minioptère de Schreibers…) ainsi que de poissons tels que le Blageon ou Barbeau méridional.

 

Une très belle balade pour les randonneurs de BLC.

Chantons avec le coeur !

Chantons avec le coeur !

Quel accueil !

Des sourires, des regards qui s’éclairent, qui demandent confirmation, des voix qui interrogent sans hésitation ni retenue, qui veulent tout savoir, qui veulent la confirmation d’une présence, d’une participation mais aussi l’écoute d’une tessiture, la sonorité de la voix, qui veulent savoir si…, quand… et toujours des sourires, des fleurs des bonbons et des chocolats …
Non mais presque …

Patricia, Marie-Jo, Jacky puis Marie, Ludo, Régis et Yvon, Agnès et Françoise, la semaine suivante les deux Martine et Nicole, Anne et Annie, … les prénoms volent, s’accrochent à un visage une présence une voix, les chaises envahissent la salle avec les écrans, l’impatience est là, l’envie de chanter et je me dis, oui là, à ce moment-là, je me suis dit « c’est génial, on a tous envie de chanter et de s’amuser, de prendre un air et des paroles et de les expulser de la poitrine pour en faire un son commun, une aubade, une ritournelle, un plaisir musical personnel et amical, un son qui va s’associer à d’autres et exprimer des joies, des bonheurs,
des attentes, de la nostalgie et du plaisir !

Et c’est Michel Fugain qui nous tend la main, « On laisse tous un jour, un peu de ses amours, sur une table dans le fond d’un café » et c’est notre vie que nous chantons, notre jeunesse et nos rêves d’amour et d’amitié et l’enthousiasme nous emporte, les corps bougent …
« Hop hop hop » Yvon recadre, “suivez la musique sur l’écran de Karaoké, mais attention on la refait à la guitare, pas trop vite ! »

Et on se souvient des copains qui grattaient autour du feu qu’on n’avait pas réussi à allumer là-bas loin en Lorraine, des filles qui chantaient si bien et qui étaient si belles …
Et voilà qu’arrive le Grand Georges Brassens et sa gourmandise de jeune femme pendant l’orage, « lui parler de la pluie, lui parler du gros temps » et on refait (dixit Yvon), et on re-refait et on peaufine, et on s’accroche et tout d’un coup, c’est là, c’est la bonne harmonie, le plaisir intact dans le respect du génie Brassens…

Et La Bohème, ce bijou d’écriture, ce merveilleux poème plein d’amour et de sentiments, de Montmartre et des moins de vingt ans…
Oui finalement, « Je n’aurais pas le temps, pas le temps », je dois interrompre ma logorrhée évidente, il me faut écourter ce texte mais peu m’importe car j’ai eu le plaisir hier soir de
partager la vie de quelques illuminés …

 

Article de Jacques Cardinal.

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Nettoyage de printemps à Naron

Nettoyage de printemps à Naron

Ce samedi matin 13 avril, nous étions tous prêts à en découdre avec les herbes folles, les fleurs sauvages et l’envahissement progressif des terrasses et parkings de l’ancienne école de Naron !

Les adhérents ont formé des équipes et même si les outils manquaient un peu, c’est souvent à mains nues avec des cris d’encouragement et beaucoup de bonne humeur que les broussailles, les mauvaises herbes, les cannes de Provence furent arrachées, cassées, pilées et entassées pour la voirie !

Les toits furent nettoyés avec des souffleurs, les vitres retrouvèrent leur transparence, des vieilles pièces de barbecue furent évacuées et l’escalier extérieur remis en beauté avec une obstination remarquable par Véronique.

Oui c’est aussi dans des opérations comme celle-là que se constate la solidarité au sein de l’Association et sa force, et notre futur ! Je suis fier d’y avoir participé comme tous ceux qui ont consacré quelques heures à la Communauté.

 

Jean-Claude Sabloney notre doyen était présent et sa vigueur était exemplaire, poubelle portée à deux mains, petite bêche et râteau, un investissement formidable de bonne humeur et d’efficacité !

Jacques Braudeau était partout, sur la terrasse devant, sur le parking, pour les poubelles, pour l’arrachage, il était à la peine, il mérite tous nos honneurs.

Et Karim, en haut, en bas, brassées de tiges portées vers l’entassement, et en insistant un peu, il nous aurait fait une démo de salsa ; et les Jacques bien actifs, trempés de sueur mais toujours vaillants et tous les autres, Pascal, Marie-Hélène, Jean-Paul, Christine, Gérard et Odile et tous ceux dont je n’ai pas retenu le prénom, pardon à tous, humblement …Et le Président qui coupait et taillait herbes et ronces, qui poussait, tirait, portait avec le sourire…

 

Le nombre de participants nous a permis de boucler les travaux à 11h30 et de nous préparer pour le cérémonial de l’apéro, chaises dispersées sur la terrasse, soleil et ombre, discussions impromptues, satisfaction du travail bien fait (et oui…), du repos bien mérité et de la soif bien étanchée par le petit rosé qui n’a pas fait long feu, le rouge gouleyant et le blanc qui n’a fait que passer …

 

Article de Jacques Cardinal.

Danses latinos

Danses latinos

Alors là, on peut dire « dansez maintenant ! »

Il fallait avoir la clé ce mercredi pour apprécier les danses latinos, la Salsa en particulier.
On s’adapte en attendant la musique, on répète les passes dont une nomenclature est affichée au mur !
Karim est infatigable, il enchaine les partenaires, structure la « Rueda », la ronde que les couples doivent respecter, active une ou l’autre des 35 figures ou passes identifiées et la leçon devient Chorégraphie …

Les couples virent, tournent et parfois s’enroulent en une très jolie figure, l’esthétique gagne peu à  peu mais que cette danse est physique et tonique !

J’ai bien envie d’une chaise et pourtant je ne fais que regarder, je ne danse pas !

Musique cubaine, celle qui fait bouger même quand on n’écoute pas, les hanches
commencent à rouler, les mains se claquent, les épaules bougent et l’attention est optimale !
Il n’y a pas de tension car le plaisir de la danse vient vite, les enchainements sont plus liés, aisés, les changements de partenaire surprennent car multiples ! En fait, c’est de la pédagogie car les expériences multiples sont bénéfiques …

Sensualité, comment éviter d’en parler, même si beaucoup débutent, leurs corps savent que le mouvement est là, le rythme est trouvé, sensuel, velouté, les corps s’approchent et se repoussent, virevoltent et les mains volent !
La chorégraphie est en place, la « Rueda » tourne au rythme donné par « le leader », Karim ou Chantal en l’occurrence, présents partout ; c’est vraiment inspirant et hypnotique, femmes et hommes se sont trouvés et je défie quiconque de ne pas bouger le popotin en suivant la
démonstration !

Comment font-ils tous pour ne pas être épuisés, et Chantal et Karim pour animer le cours suivant ?

Article de Jacques Cardinal

 

Ici on danse et on s'amuse !

Et si on faisait un "enchufla ?

Démonstration

Le pont du diable

Le pont du diable

Destination pour notre randonnée du 8 avril : le Latay et son pont du Diable sur la commune de Signes.

La légende du pont du Diable.

Il ne subsiste que l’assise de la pile du pont du Diable qui traverse le Latay à Signes.

La glace autrefois produite dans les glacières du Nord de la sainte Baume était transportée par les muletiers et les charettes pour approvisionner Toulon et sa région.

Pour l’appelle-t-on le pont du Diable ?

C’est une légende; un pacte avec le diable!

Un personnage passe un pacte avec le diable afin de construire un pont qu’il ne peut réaliser tout seul. Le Diable accepte de construire le pont mais il exige en retour la première âme qui le traversera.

Le pont fût construit en une seule nuit, mais le Diable fût trompé. Les hommes font traverser le pont en premier à un animal. Ne pouvant prendre l’âme de l’animal, le Diable se jetta dans l’eau depuis le pont.

Article de Chantal Rapeto.

Le Latay

Le Latay est un ruisseau qui prend sa source à 700 m d’altitude à 15 Km en amont de la source du Gapeau sur l’adret de la Sainte Baume.

Le Gapeau est un fleuve côtier qui se jette aux salins d’Hyeres.

Les cascades du Latay

Après les fortes pluies de ces derniers temps, les cascades du Latay coulent toujours,un ravissement pour les yeux.

Le pont du Diable

Selon la légende le Diable se serait jeté de ce pont après s’être fait avoir par les humains.