Le 11 octobre à 10h30,

trente BLCéens étaient rassemblés sur le parking du Casino (le super marché) à Bandol pour prendre le car direction Nice où ils retrouvaient d’autres BLCéens arrivés directement à l’aéroport.

Ce sont donc 44 personnes qui investissaient un airbus A 380 direction Dubaï. Atterrissage à minuit heure locale. Logement à l’hôtel Hilton Garden en plein centre de la ville à 500 mètres de la piste de ski et du Mall of Emirates.

Après une courte nuit départ avec notre guide  pour une visite touristique de Dubaï : le souk Madinat Jumeirah  (la petite Venise,  ultra touristique), l’hôtel  Burj Al Arab, (7 étoiles)  en forme d’une immense voile, le petit musée ethnographique (intéressant), traversée en bateau du Creek  (canal qui mène au golfe Persique) pour aller dans le vieux Dubaï avec son souk aux épices (achat de véritable safran à un prix correct) et celui de l’or (très brillant mais sans doute moins intéressant  au niveau prix!).

Retour vers le Dubaï ultra moderne et montée à la tour Burj Kalifa de plus de 828 mètres de haut, 148 étages. Nous ne monterons qu’au 124eme étage à 424 mètres en 55 secondes (vue à 360 degrés sur le Dubaï moderne et le Golfe Persique). Le lendemain, départ pour Abu Dhabi et la visite de la Mosquée Blanche toute de marbre blanc de Carrare, de cristal et de pierres précieuses puis le musée du Louvre construit par Jean Nouvelle et inauguré par Emanuel Macron en 2017 (visite trop courte au goût de certains!)

La troisième journée, libre, permis à certains de visiter l’Oasis d’AlaÏn au sud-est de l’Emirat, à la frontière avec le Sultanat d’Oman, étang de verdure aux cinquante mille palmiers au milieu du désert. Pour la dernière journée: balade bien secouée en 4×4 dans les dunes et diner spectacle (danse du ventre, derviche tourneur exceptionnel et cracheur de feu). Pour le retour, réveil à 4h30 (soit 2h30 en France) pour une arrivée à Bandol à 16heures30.

Pour résumer :

Voyage très intéressant sur le plan culturel, de l’urbanisme futuriste à la limite de défier les lois de la nature, du mode de vie sous climatisation permanente par une chaleur qui oscille entre 30° le matin et 45° l’après-midi (et beaucoup plus les mois d’été), l’ultra propreté de tous les lieux et la discipline des Emiriens (aucun policier ou gendarme visible mais des caméras partout). Cela pourra-t-il toujours durer ?  Mais le plus important a été l’ambiance chaleureuse et la convivialité qui ont régné dans le groupe grâce à l’attention bienveillante de notre Jeannine Nationale qui a toujours su régler les moindres problèmes et qui a fait que ce voyage soit une réussite. Qu’elle en soit chaleureusement remerciée.   

Michel LANDAIS